Mais quelle épisode, je ne sais même pas par ou commencer, ni même quoi dire.
Ce season première possède un rythme assez lent mais malgré tout il s'avère tellement passionnant que cela ne m'a guère dérangé.
Je dois dire que Fringe et moi ce n'est pas une grande histoire d'amour comme pour les autres séries de J.J Abrams. J'ai trouvé le 11 premiers épisodes très long au points que sans Walter j'aurais peut-être abandonné, mais bon tout vient à points qui sais attendre, et c'est donc avec surprise que la série à trouvé sa vitesse de croisière lors du 1x12, je me souvient avoir ressenti de la passion pour la première fois depuis j'adore. Je me suis demandé sur quoi allais déboucher ce season première, je dois avouer que la peur d'être déçu était grande, très grande même mais bon me voila rassuré maintenant.
Franchement j'avoue avoir était un peu chamboulé avec Olivia, moi qui avais l'habitude de la voir comme une femme forte lors de la première saison, le fait de la voir apeuré, tremblante et pas sur d'elle ma quelque peu déboussolé, je me demande vraiment ce qui lui est arrivé dans l'autre monde, l'avenir nous le dira je pense.
Le monstre du jour ne s'avère en faite ne pas en être un, c'est en faite un guerrier du monde parallèle, venue afin d'éliminé Olivia. J'ai bien aimé cette partie de l'histoire, ce guerrier à fait pas mal de morts autour de lui dont un auquel j'ai du mal en m'en remettre: Francis.
Je l'adorais, il était un peu en dehors de l'unité. C'est un peu à lui que je m'identifier alors voir la fin de cette épisode à était choquant pour moi, surtout que l'on a apprit à s'attacher à lui, à sa vie.
Je me demande si Olivia s'en rendra compte de suite ou s'il faudra attendre plusieurs épisodes avant de clôturer cette histoire.
J'ai également trouvé Peter changé, je vois qu'il en a un peu marre d'attendre les coups, il préfère dorénavant les donner avant. Je trouve cette idée excellente, on fait exactement l'inverse de la première saison, un revirement total qui risque de fort me plaire. Si cela se fait réellement, c'est l'effet narratif de la série qui risque de s'en trouvé complètement bouleversé. Un peu de fraicheur ne peut que nous faire du bien.
Walter toujours égal à lui-même, cette fois-ci il se met en tête de faire un gâteau d'anniversaire pour son fils. Super de l'entendre parler français même si ce n'est que pour dire:
-"It's funny. I love custard, but I hate flan. Which could be an issue of semantics. Or difficulty with the french. Which I doubt, Given my near obsession with moules a la crème normande."
Sacré Walter, de plus il recommence une fois de plus à appeler Astrid, Astérix.
La nouvelle agent est vraiment pas mal mais je me demande vraiment qu'elle place elle va pouvoir prendre dans le groupe. Je n'arrête pas de me dire qu'au lieu d'engager une nouvelle actrice, il aurais était plus judicieux de donner un peu plus d'importance au personnage d'Astrid.
Vous n'êtes pas d'accord avec moi?
Pour finir j'aimerais parler de la scène entre Broyles et Nina, intrigante... Nina a vraiment l'air de ressentir quelque chose de fort pour lui mais la scène ou elle l'embrasse et assez malsaine, il reste sans réaction, limite glacial.
Je ne serais dire pourquoi il réagit de la sorte mais je suis sur que des semblants de réponses ne tarderons pas à venir.
Au vue de la taille de cette critique je pense que vous aurez comprit que j'ai vraiment adoré cette épisode, il me tarde vraiment de voir la suite....